Notre commune

La commune en bref
Nom : Le Mesnil-Amelot
Gentilé : Mesnilois / Mesniloise
Densité : 87 hab. /Km2
Superficie : 9,87 Km2
Coordonnées : 49° 01’ 05’’ Nord 02° 35’ 41’’ Est
Altitude : Minimum : 87 m / Maximum : 121 m
Situation géographique
Le Mesnil-Amelot est situé au Nord-Est de l’aéroport international Paris-Charles-de-Gaulle, en limite des départements du Val-d’Oise et de la Seine-Saint-Denis.
Il est situé à seulement 25 Km de Paris intramuros et 30 Km de Meaux. Bien que l’aéroport occupe près de 40% du territoire communal et que le Mesnil-Amelot soit en contact direct avec le tissu urbain de l’agglomération francilienne (Paris et sa 1ère couronne), la commune conserve un aspect champêtre et authentique.

Contexte paysager
Le relief de la commune est peu marqué et traversé du Nord-Ouest au Sud-Ouest par des corridors fonctionnels de prairies, friches et dépendances vertes.
Ces corridors composent la “ceinture verte” de la Région Île-de-France. Les espaces agricoles, forestiers et naturels occupent 51,4% du territoire communal. Les espaces ouverts artificialisés représentent 14%.

Tissu social
La population est ici très active. Le taux de chômage est de 6,3%. On retrouve beaucoup de jeunes couples, « néo-ruraux » des départements voisins qui cherchent un cadre de vie plus “rural” sans pour autant abandonner les services que l’on peut trouver en ville.
La population est jeune (53,5% a entre 15 et 44 ans). Les Mesnilois sont essentiellement des employés qualifiés que l’on retrouve dans le secteur tertiaire (83,2%).
Les autres sont dans le secteur de l’industrie et de la construction qui représente 14,8%.

Notre histoire

Des origines anciennes et seigneuries médiévales
Les habitants du Mesnil-Amelot sont les Mesniloises et Mesnilois.
Les micro-reliefs du territoire du Mesnil-Amelot recèlent de nombreuses traces d’habitats néolithiques et gallo-romains. Au XIe siècle, la dîme du Mesnil est partagée selon des règles précises entre l’abbé de Cluny, le prieur de Saint-Martin-des-Champs, le chapitre de Meaux et les chanoines de Sainte-Geneviève de Paris. En 1192 Rance, dame du Mesnil, épouse Anseau Ier de Garlande, sieur de Tournan-en-Brie. Ses descendants possèdent en partie cette terre, dite « Mesnil-Madame-Rance » plusieurs siècles durant. Le surplus de la terre est détenu par les d’Aunay puis leurs successeurs, de Néelle, le Mercier, d’Illiers, d’O, d’Averton, de la Marck.
Transformations et héritages
Le 2 mai 1635 Jacques II Amelot, déjà seigneur de Mauregard, acquiert Le Mesnil, appelé dès lors « Mesnil-Amelot », tandis qu’interviennent plusieurs alliances et successions. Le 5 août 1627, Eustache Le Couturier étant acquéreur, le domaine prend le nom de Mesnil-Couturier. Héritiers, les Desvieux vendent le 31 mai 1769 à Mme Henri Le Fèvre d’Ormesson, née Le Peletier de Mortefontaine. Le village est alors appelé Mesnil-en-France ou plus volontiers Mesnil-Amelot. Située à l’intersection de la route venant de Claye et de l’ancienne voie royale Paris-Soissons-Reims, la commune disposait d’un important relais de poste, voisinant avec la halle aux vins du baron de Ville d’Avray. Des douze exploitations agricoles anciennes ne subsistent plus aujourd’hui que trois grosses fermes qui se partagent les terres restantes après l’emprise de l’Aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle et des zones d’activités.

Le monument aux morts
Malgré la pluie, de nombreux participants – habitants, jeunes, élus, sapeurs-pompiers et police municipale – étaient présents pour rendre hommage aux soldats tombés pour la France.

La chapelle de Guivry
D’après la tradition, il serait le reste d’une maison de templiers disparue.
Les archives laissent plutôt penser que la chapelle aurait été implantée sur une terre initialement incluse dans un plus grand domaine situé principalement à Villeneuve-sous-Dammartin et anciennement possédé par la maison templière de Dammartin-en-Goële.

L’église Saint Martin
L’édifice de la Renaissance, qui remplaçait une église du XIIIe siècle dont seules quelques traces sont conservées, a été reconstruit en 1531. En 1666, le carillon comptait dix cloches mais la tour du clocher a été remaniée en 1780.

L’orgue
L’orgue d’origine ayant fait place à un instrument à commandes électriques, signé Jonet, peu satisfaisant, un orgue neuf mais traditionnel, a pris place dans l’ancien buffet. Il s’intègre parfaitement à l’acoustique de l’église.
Il comporte un positif de six jeux, soit 56 notes, un grand orgue de six jeux, soit 56 notes, et une pédale de quatre jeux, soit 30 notes.

L’éléphant rouge
Son concept Born Wild© : « En créant, je libère mon énergie positive. Je veux que mes œuvres transforment les pensées sombres en beauté. »
La violence, bien que naturelle et vitale, peut être sublimée par l’art. À travers Born Wild©, Orlinski interroge la transformation d’un instinct brut en émotion civilisée. Son esthétique, sa quête de perfection et la perception du spectateur en sont les clés.
Partisan d’un art accessible à tous, il puise dans l’imaginaire populaire des icônes fortes, alliant animalité et beauté hypnotique. Ses œuvres résonnent avec nos instincts les plus profonds, éveillant une émotion universelle.
